Atmospheric music based on the letters sent by Jack The Ripper to the police. Great soundtrack for the yet to be made ultimate movie about the Whitechapel serial killer.
1888, Londres, Whitechapel, un homme tue des prostituées. Jamais il ne sera arrêté, jamais il ne sera confondu. Le mystère plane encore, et Les Sentiers Conflictuels, épaulés par Andrew King, nous livre un album d’ambiance fin de siècle, et nous conte l’histoire de ce tueur mythique, Jack l’Eventreur.
Tout est fait pour nous plonger dans la capitale de l’Empire Britannique de la fin du XIXème siècle. le disque s’articule d’une part autour des lettres que le tueur en série a envoyé à Scotland Yard, dites par Andrew King, sa voix étant modifié pour paraître encore plus étrange, diabolique, effrayante, et d’autre part une ambiance sonore riche et grouillante qui nous propulse dans le labyrinthe des rues où les meurtres ont eu lieu. Bruit de machine, de sabot de chevaux sur les pavés, musique de baraquements de fête foraine, tantôt triste, tantôt terrifiante mélodie lancinante du cauchemar à venir, tout est fait pour nous plonger et dans l’époque et dans la tête de tueur, deux ambiances qui finissent par ne faire plus qu’une à mesure que la musique emplie notre esprit. Car Jack l’Eventreur et le Londres de 1888 sont intimement liés, psychogéographie d’un carnage urbain, paradigme de la violence à venir, aveugle, chirurgicale et brutale. Jack l’Eventreur, monstre contemporain, a ouvert la voie à un siècle de crime et de boucherie, le XXème siècle.
Tout est fait pour nous plonger dans la capitale de l’Empire Britannique de la fin du XIXème siècle. le disque s’articule d’une part autour des lettres que le tueur en série a envoyé à Scotland Yard, dites par Andrew King, sa voix étant modifié pour paraître encore plus étrange, diabolique, effrayante, et d’autre part une ambiance sonore riche et grouillante qui nous propulse dans le labyrinthe des rues où les meurtres ont eu lieu. Bruit de machine, de sabot de chevaux sur les pavés, musique de baraquements de fête foraine, tantôt triste, tantôt terrifiante mélodie lancinante du cauchemar à venir, tout est fait pour nous plonger et dans l’époque et dans la tête de tueur, deux ambiances qui finissent par ne faire plus qu’une à mesure que la musique emplie notre esprit. Car Jack l’Eventreur et le Londres de 1888 sont intimement liés, psychogéographie d’un carnage urbain, paradigme de la violence à venir, aveugle, chirurgicale et brutale. Jack l’Eventreur, monstre contemporain, a ouvert la voie à un siècle de crime et de boucherie, le XXème siècle.
Les Sentiers Conflictuels, Athanor, 2006.
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